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GESTION DURABLE DE L’EAU

Children washing their hands in DRC | Des enfants se lavent les mains RDC
La réalisation d'un trou de forage, a Turkana, dans le nord du Kenya
Infrastructures hydriques au Kenya
Gestion durable de l'eau au Kenya
Infrastructures hydriques en RDC
Gestion durable de l'eau en RDC
Infrastructures hydriques au Kenya

Dans les zones arides et semi-arides du nord du Kenya, de nombreuses communautés rurales isolées disposent d’un accès limité à l’eau propre. Les femmes et les enfants en particulier sont contraints de marcher pendant plusieurs heures jusqu’à la source d’eau la plus proche et de faire le chemin inverse vers leur domicile, transportant le plus d’eau possible avec eux.

Les partenaires du projet SWIFT, Oxfam, Concern Worldwide et Practical Action ont travaillé à l’amélioration des infrastructures hydriques dans la région en creusant des trous de forage, en les équipant de systèmes de pompes solaires, en améliorant les canalisations et en installant des pompes manuelles, notamment des pompes BluePump, qui n’exigent qu’un entretien limité.

Dans les campements informels de Nairobi, de nombreuses personnes reçoivent de l’eau fortement exposée à la pollution. Ils peuvent y avoir accès uniquement quelques heures par jour voire par semaine, et parfois à des moments peu pratiques, comme en plein milieu de la nuit par exemple. De surcroit, ils se voient parfois obligés de débourser jusqu’à dix fois le prix officiel.

WSUP travaille avec la Nairobi City Water and Sewerage Company (NCWSC) pour moderniser son réseau de canalisation et réduire « l’eau non génératrice de revenu », c’est-à-dire l’eau produite mais « perdue » avant d’arriver à l’usager, en raison de fuites, de mesures inexactes ou de vol. Dans certaines régions, la part d’eau non génératrice de revenu peut dépasser les 90 % en raison des raccordements illégaux.

WSUP a déployé également un nouveau réseau de canalisation long de 23 km dans le campement informel de Dandora. Ce réseau a été intégré au réseau existant, dont la pression de l’eau a été accrue afin d’optimiser les heures d’approvisionnement en eau.

Gestion durable de l'eau au Kenya

Le consortium SWIFT travaille d’arrache-pied pour garantir que les améliorations apportées en matière d’accès à l’eau propre s’inscrivent dans la durée, bien après la fin du programme. Consultez également l’« outil d’évaluation de la durabilité environnementale » dans la section « Gestion durable de l’eau en RDC », ci-dessous.

Promouvoir des raccordements légaux au réseau d’eau

Dans les campements informels de Nairobi par exemple, WSUP travaille en collaboration avec la Nairobi City Water and Sewerage Company (NCWSC) pour légaliser les raccordements illégaux au réseau d’eau. Ensemble, ils ont entrepris une vaste campagne de promotion visant à connecter le réseau existant à 3 000 compteurs d’eau (nouveaux ou remis en vigueur) d’ici la fin de l’année 2015.

Un bureau de chantier de la NCWSC a été ouvert et sert également de centre de suivi et de réception des plaintes des habitants au sujet des problèmes relatifs à l’eau. Une équipe de promoteurs locaux distribue les formulaires de demande pour le raccordement du réseau d’eau aux propriétaires terriens. Les sociologues de terrain de WSUP et de la NCWSC travaillent étroitement avec l’équipe de projet de la communauté, les propriétaires terriens et les habitants afin de comprendre les groupes de clients potentiels, leurs comportements, leurs pratiques, leurs points de vue et leurs préférences, ainsi que leur volonté de payer pour un meilleur service.

Les stratégies adoptées pour sensibiliser la population à cette campagne incluent : l’organisation de réunions de propriétaires terriens dans chaque village ; la tenue de discussions dans des barazas, ces réunions publiques organisées par des chefs de village ;  l’organisation de réunions entre l’équipe de projet et les communautés ; et l’utilisation de matériel de promotion tel que des bannières et des posters.

Renforcement des capacités des entreprises de distribution d’eau

Oxfam a travaillé en partenariat avec de nombreuses entreprises de distribution d’eau au Kenya. Dans quatre sites de Wajir, où Oxfam a creusé des trous de forage et installé des systèmes de pompes solaires, la responsabilité de gestion des systèmes hydriques reviendra à Wajir Water and Sewerage Company (WAJWASCO).

L’équipe d’Oxfam a travaillé au renforcement des capacités de WAJWASCO et l’a préparé à prendre le contrôle des associations d’usagers de l’eau du village qui voient le jour. Dans ce contexte, des distributeurs électroniques d’eau ont été installés dans certains villages afin de faciliter l’accès à l’eau de la population et de garantir que l’entreprise de distribution d’eau reçoive le paiement. Éviter le transfert d’argent physique entre les clients et un kiosquier réduit le risque de corruption, et conserver une trace électronique des transactions effectuées renforce la transparence et la responsabilité du processus de recouvrement des recettes.

Pendant ce temps, à Turkana, les équipes SWIFT ont travaillé au renforcement des capacités de Lodwar Water and Sanitation Company (LOWASCO), au travers d’activités qui se poursuivent jusqu’à la fin du programme en 2018. Un projet de renforcement des capacités a été également développé pour KAWASE PRO, le fournisseur d’eau à Kakuma.

Former les associations d’usagers de l’eau et les vendeurs d’eau

Afin d’assurer la durabilité des activités SWIFT, les comités de gestion de l’eau à l’échelle des villages dans les zones rurales du nord ont reçu une formation. Practical Action, a par exemple formé de nombreuses associations d’usagers à Turkana.

Infrastructures hydriques en RDC

La République démocratique du Congo dispose d’abondantes ressources en eau, mais des décennies de conflits ont détruit les infrastructures existantes et se sont traduites par une absence chronique d’investissements, privant de nombreuses personnes d’accès à de l’eau propre.

Tearfund et les partenaires d’Oxfam, HYFRO, AVUDS et YME Grands Lacs, œuvrent à l’amélioration et à l’expansion des infrastructures hydriques, par le biais d’activités comprenant la construction et la réhabilitation de sources protégées, la construction de systèmes d’adduction d’eau gravitaires et la construction de puits creusés à la main.

Gestion durable de l'eau en RDC

SWIFT met actuellement en œuvre un certain nombre d’activités visant à garantir la pérennité des améliorations apportées aux infrastructures en RDC.

Outil d’évaluation de la durabilité environnementale

L’ODI et Tearfund, les partenaires du projet SWIFT, ont élaboré un outil d’évaluation environnementale offrant aux partenaires la possibilité d’évaluer la viabilité de ses sources d’approvisionnement en eau en matière de rendement, et les risques qui devront être gérés.

Cet outil répond aux questions suivantes relatives aux sources d’eau choisies :

  • Y a-t-il assez d’eau de qualité appropriée pour satisfaire la demande au fil des saisons sur le long terme ?
  • Quels sont les principaux risques environnementaux liés à un approvisionnement durable en eau salubre ?
  • Comment pouvons-nous atténuer ces risques ?

Une note d’apprentissage introduisant l’outil d’évaluation de la durabilité environnementale, et l’outil complet sont disponibles dans nos ressources.

Développer l’approche VEA dans les régions semi-urbaines

Le projet SWIFT a développé également l’approche VEA, qui est à la fois inclusive et pilotée par la communauté, pour les exigences particulières des contextes semi-urbains. Ce processus a supposé le soutien technique d’un ingénieur WASH supplémentaire et de l’organisation de développement locale, ADIR (Action pour le développement des infrastructures en milieu rural), ainsi que l’implication d’organismes gouvernementaux et de groupes communautaires afin de garantir la viabilité de l’approche. Les équipes SWIFT perfectionnent constamment le nouveau système au vu des expériences en contextes semi-urbains. (Voir la section « Gestion durable de l’eau en RDC »).

Comités d’usagers de l’eau dans les zones rurales

Tous les partenaires du projet SWIFT qui mettent en œuvre l’approche VEA (voir également la section « Gestion durable de l’assainissement en RDC ») veillent dès la première réunion dans les villages ciblés à informer les communautés que des frais d’utilisation seront à régler aux points d’eau. Les communautés conviennent elles-même des prix, en accord avec les syndicats des eaux locaux, sur la base des coûts prévus. Les comités d’usagers de l’eau s’installent ensuite à chaque point d’eau pour recevoir les paiements des usagers, conformément aux recommandations du gouvernement.

Le projet SWIFT dispense des formations aux comités sur la gestion financière des paiements, ainsi que sur les processus de versement et de retrait. Les paiements reçus servent à financer les réparations simples, l’installation de clôtures autour des points d’eau, la main d’œuvre pour le nettoyage des réservoirs, le remplacement des robinets, et enfin le remplacement de tuyaux en PVC. Une banque d’outils et de pièces détachées est créée pour les comités d’usagers de l’eau.

Ces derniers sont régulièrement suivis et surveillés pendant les quatre années du programme afin de garantir une bonne gestion financière. Des traces sont conservées au sujet des fonctionnalités, de l’indisponibilité, des réparations et des coûts de réparation des points d’eau, afin que les tarifs soient recalculés si nécessaire.

OÙ NOUS ŒUVRONS

À propos de SWIFT

Depuis 2014, le consortium SWIFT (Sustainable WASH In Fragile ContexTs) vise à fournir un accès à l’eau et à l’assainissement et à encourager l’adoption de pratiques de base en matière d’hygiène en République démocratique du Congo (RDC) et au Kenya. Un ensemble de partenaires met en œuvre les actions de SWIFT dans les deux pays cibles, en collaboration avec les gouvernements ainsi que les fournisseurs d’eau, notamment les entreprises de services publics. Le consortium est mené par Oxfam. Tearfund et Overseas Development Institute (ODI) en sont membres internationaux. Le consortium SWIFT est financé par l’aide reçue du public britannique via le Département du Développement international (DFID) du pays, dans le cadre d’un contrat de « paiement basé sur les résultats ».

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